Pour cette recette prévoir un peu de temps et un peu d'huile de coude mais le jeu en vaut la chandelle.
Testée sans thermomètre pour mesurer la cuisson du sucre et du miel et sans robot patissier pour s'économiser les bras. Ces deux appareils peuvent peut-être permettre de simplifier la recette.
Pour environ 800 g de nougat fini.
C'est pour la cuisson du miel et du sucre que des températures précises doivent être respectées.
Sans thermomètre j'ai stoppé cette cuisson au moment où miel et sucre bouillonnaient avec de grosses bulles régulières sur toute la surface de la casserole, au moment où il aurait fallu les surveiller de près si le but avait été d'obtenir du caramel.
Vous obtenez une pâte assez liquide qu'il va falloir dessécher avant d'y ajouter les noix.
Pour dessécher, si vous êtes confiant dans la force de vos bras, vous pouvez tourner cette pâte sans arrêt à feu doux. Si elle se colore le nougat ne sera plus blanc.
J'ai commencé comme ça puis, lorsque la pâte s'est épaissie, j'ai continué au bain-marie. C'est cette étape qui prend en peu de temps.
Plus la pâte sèche, plus elle est collante et dure à remuer et plus le nougat obtenu sera dur.
J'ai arrêté de la dessécher lorsqu'elle a eu la consistance exacte, nous n'avons pas trouvé d'autre comparaison, d'une casserole de chewing gum, collante et pateuse.
Ajoutez-y les noix torréfiées encore chaudes en mélangez le tout.
Etalez dans un moule entre deux feuilles de papier sulfurisé saupoudrées d'un mélange de sucre glace et de maïzena pour que ça ne colle pas.
Laissez refroidir et coupez avec un couteau bien aiguisé.
Le résultat est délicieux et assez différent en goût du nougat que l'on peu parfois trouver dans le commerce.
« Retour aux recettes - Recette publiée le 25/01/2021